Le 17 août dernier, une adolescente de 17 ans, issue d’une famille musulmane a été battue et tondue par cette dernière car elle voulait se marier avec un chrétien. Les faits se sont déroulés dans la ville de Besançon dans l’est de la France.
En effet, selon la presse française, la jeune fille a été battue par son père, sa mère, son oncle et sa tante à de multiples reprises. Une côte cassée, une oreille blessée et de multiples hématomes, en plus de s’être fait raser complètement ses cheveux par son oncle. Sa famille a été placée en garde à vue pour violence sur mineur et en présence de mineur. Cette histoire aux pratiques d’un « autre âge » a même fait réagir le ministre de l’intérieur français, Gérald Darmanin : « Je suis la situation de près et j’ai demandé la plus grande fermeté pour mettre un terme à ces agissements », a-t-il tweeté.
J’ai appelé le @prefet34 suite aux violences inacceptables qui se sont déroulées à #Palavas-les-Flots.
— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) August 22, 2020
Je suis la situation de près et j’ai demandé la plus grande fermeté pour mettre un terme à ces agissements.
L’histoire a commencé la semaine dernière, dans le quartier des Clairs-Soleil à Besançon. Depuis près d’une année, la jeune fille, originaire de Bosnie-Herzégovine, vit une histoire d’amour avec un garçon âgé de 20 ans d’origine Serbe. Aussitôt avoir pris connaissance de leur histoire, les parents de l’adolescente ont exprimé leur refus catégorique quant à cette union car le jeune homme en question est de confession chrétienne. « Ses parents lui ont dit : tu es musulmane, tu ne te marieras pas avec un chrétien », a raconté la vice-procureure de la République de Besançon, Margaret Parietti.
Après lui avoir interdit de revoir son copain, les deux tourtereaux ont décidé de fuguer durant 4 jours tout en maintenant le contact par SMS avec leurs familles respectives. A leur retour, ils se sont allés chez la famille de la jeune fille accompagnée des parents de son amoureux. C’est là que tout a dégénéré et que la fille a été violentée et battue. Le jeune garçon est aussitôt parti alerter les autorités.
Également concernés par une procédure d’expulsion, les 4 mis en cause seront jugés au mois d’octobre.
