Les algériens non berbérophones se mêlent beaucoup des questions relatives à Tamazight et son statut en Algérie.
En effet, beaucoup de voix s’opposent à son inscription dans la constitution algérienne et l’ont exprimé à l’approche du référendum du 1er novembre prochain. D’autres veulent bien que Tamazight soient dans ladite constitution mais qu’elle soit écrite en caractères arabes et qu’elle véhicule les valeurs arabo-islamiques de l’Algérie.
Débat sans doute superficiel, car tous sont d’accord sur le fond : Les autorités algériennes usent de diplomatie et cèdent quelques concessions le temps qu’il n’y ait plus de berbérophones alors que les non berbérophones expriment leur position sans ambages.
PS : commentaire de la rédaction.
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