Amar Mezdad revient sur l’exhérédation votée au XVIIIe siècle par les délégués de la Kabylie
L’absent étant par conséquent considéré comme mort. Les épouses étaient déclarées légalement veuves et autorisées à se remarier. Elles ont donc emporté avec elles les enfants et les biens du mari disparu, retenu par les Espagnols.