Agression du président de l’Anavad : une violence politique (par Allas Di Tlelli)
Au-delà de l’aspect judiciaire, de certaines « réactions » pour le moins mitigées et des loquaces qui deviennent étrangement taiseux dès qu’il est question de violence anti-Kabylie, c’est surtout un précédent qui doit inciter à la prudence, voire à repenser le dispositif de protection du président du GPK.