Un père de famille décède asphyxié par la fumée provoquée par l’incendie de Hendou (Azazga)
« nos sincères condoléances la famille Selloum suite au décès de notre frère Djamel en défendant nos forêts »
« nos sincères condoléances la famille Selloum suite au décès de notre frère Djamel en défendant nos forêts »
« ils ont brûlé la faune et la flore de la Kabylie et ils ont rendu l’air irrespirable »
e, le Directeur général de la protection civile, Boualem Boughlef, a présenté le bilan des incendies sur le territoire algérien durant la période allant du 1er juin au 30 juillet 2020.
Comme ont peut le voir, des flammes d’une hauteur impressionnante se avance sur une ligne droite de plusieurs centaines de mètres dégageant une fumée sombre. Un spectacle terrifiant.
« Voyez l’hélicoptère arriver, il va déverser de l’eau et les flammes vont s’intensifier […] l’eau devrait faire éteindre le feu et non pas l’intensifier. Ça être du gasoil qu’ils déversent »
Bien que ces feux fussent prévisibles, puisque systématiquement renouvelés chaque année, l’État algérien n’a pris aucune mesure préventive à travers ses services ministériels ou départementaux
Une scène qui semble irréelle qu’on n’a du mal à imaginer que des citoyens, livrés à eux-même, vivent un tel calvaire.
Il a notamment dénoncé « la politique de la terre brûlée exercée par le pouvoir algérien »
Six incendies importants n’étaient pas encore éteints au moment de la diffusion du rapport de la DPC de Vgayet
« les équipements anti-incendies doivent devenir une priorité dans chaque village dépendant des régions boisées »
En effet, plus de 10 hectares de champs ont été ravagés. Brûlant ainsi des oliviers, des figuiers et d’autres espèces d’arbres.
Beaucoup d’internautes kabyles ont manifesté leur intérêt à cette action et ont exprimé leur volonté d’y prendre part.
Entre les flammes, l’obscurité et la fumée, les villageois ont difficilement pu contenir les dégâts.