JSK a 74 ans : Miloud Iboud se rappelle «les années d’or», dont un concert privé de Slimane Azem
« durant années 70, nous étions en stage à Lyon et par pur hasard nous avons rencontré Dda Slimane »
« durant années 70, nous étions en stage à Lyon et par pur hasard nous avons rencontré Dda Slimane »
Les citoyens des villages Kabyles vont enfin avoir leur temps de répit après avoir été constamment confrontés à la menace des flammes.
Une première en Algérie, où manger et boire en public avant la rupture officielle du jeûne est mal vu par les autorités politiques et religieuses mais également par la une catégorie de la société.
« Ses auteurs veulent semer la confusion et détourner de l’opinion publique sachant que les agents de la protection civile ne retardent pas l’assistance et le sauvetage »
Ammuden-agi n mass Ǧuhri, d wid i as-yeṭṭfen nezzeh afus akked wakud. D anadi deg i d-yewwet azal n mraw (10) n yiseggasen.
« ils ont brûlé la faune et la flore de la Kabylie et ils ont rendu l’air irrespirable »
Le médecin du CHU de Tizi-Ouzou, connu pour ses interventions et ses messages de sensibilisation que nous avons notamment relayées sur les colonnes de vava-innova
L’UNPO compte 46 membres, dont fait notamment partie la Kabylie. En effet, la Kabylie est le dernier membre à avoir intégré cette organisation et ce, depuis 6 juillet 2017.
e, le Directeur général de la protection civile, Boualem Boughlef, a présenté le bilan des incendies sur le territoire algérien durant la période allant du 1er juin au 30 juillet 2020.
Comme ont peut le voir, des flammes d’une hauteur impressionnante se avance sur une ligne droite de plusieurs centaines de mètres dégageant une fumée sombre. Un spectacle terrifiant.
« Voyez l’hélicoptère arriver, il va déverser de l’eau et les flammes vont s’intensifier […] l’eau devrait faire éteindre le feu et non pas l’intensifier. Ça être du gasoil qu’ils déversent »
Bien que ces feux fussent prévisibles, puisque systématiquement renouvelés chaque année, l’État algérien n’a pris aucune mesure préventive à travers ses services ministériels ou départementaux
« C’est lors de la conférence de Berlin, du 15 novembre 1884 au 26 février 1885, que les puissances européennes se sont partagé le continent », rappelle d’emblée le quotidien.