« Notre village est toujours alimenté avec le camion-citerne de l’APC 4 a 5 rotations par semaine et cela reste insuffisant pour une cinquantaine de foyers du village, chose qui oblige les citoyens à acheter toujours des citernes »
L’ensemble des autorités locales de Chlef, à leurs têtes le wali, ont fermé les yeux sur un acte gravissime de régionalisme et de discrimination dont a été victime un opérateur économique de Béjaïa au port de Ténès.
Le plus gros bénéficiaire de ces fonds est le journal arabophone Ennahar qui, selon la même source a obtenu « 120 milliards de centimes entre 2012 et 2015
après avoir fait objet d’une censure de sa version papier de la part des autorités algériennes à partir de son 5e numéro, le journal basé à Vgayet {Béjaïa} s’est mis à publier des versions numériques
Selon une source locale, l’endroit en question brûle pratiquement chaque année mais aucune solution n’a été envisagée pour protéger cet endroit proche des habitations.
En effet, ce sont pas moins de quatre poulaillers qui ont été totalement consumés par les flammes. S’ajoute à cela des centaines d’arbres fruitiers, dont 150 oliviers et pas moins de 100 orangers.
Il semblerait que ce nouveau roman, de 208 pages, aborde le sujet de l’islamisme ou en tout cas du conservatisme, dans un environnement algérien et non plus Kabyle.