Deg useggas n 2019 i d-yeffeɣ wungal amezwaru n tlemẓit Cabḥa Ben Gana ɣer uxxam n teẓrigin « Imru » i yellan deg yiɣrem n Tizi Wezzu, di tmurt Taqvaylit. Tefka-as azwel « Amsebrid« . Ungal n Cabḥa d…
L’article de Lina Aliane a été publié par la plateforme Science Direct donnant accès à plus de 3 800 revues académiques. Suite à quoi, elle a contribué à la rédaction d’un second article
Le jeune garçon était en compagnie de son père, Omar Kassou, directeur du CEM Haddad à Elkseur ainsi que de sa mère et de sa sœur et qui se trouvent actuellement en soin à l’hôpital.
Un débat riche durant lequel les citoyens ont pu s’exprimer sur leurs préoccupations quant aux dangers qui guettent le patrimoine Kabyle : « Ceux qui ont assisté étaient très réceptifs. Ils ont beaucoup de volonté mais manquent malheureusement de moyens »
6mois a dévoilé le 04 septembre dernier la liste des 12 finalistes du prix 2020 du photojournalisme et parmi lesquels figure le photographe Kabyle Ferhat Bouda : « Je suis vraiment très heureux de cette surprise » a posté le natif de Bouzeguene suite à cette nomination..
Mi testeqsan yiwet n tikkelt ɣef acimi i yettɛeṭṭil deg usuffeɣ, yenna-asen: « Nekkini mačči d win i cennun iwakken ad yesɛu isem, neɣ ad yerveḥ tadrimt. Cennuɣ acku seg temẓi i ḥemmleɣ avrid-agi, ḍefreɣ-t ur yerna ndimeɣ ara.
Il est temps pour le Kabyle de changer son statut vis-à-vis des Arabo-Islamistes algériens. Il est temps de passer du statut de traître à celui de l’ennemi.
La journée du 12 septembre s’annonce comme une bouffée d’oxygène pour les citoyens kabyle qui pourront assister à la première voire l’unique manifestation culturelle de l’année
Cette pièce théâtrale est à découvrir pour la première fois le 11 octobre prochain au Café de Paris, dans la capitale française. Une oeuvre inédite mise en scène par le prolifique Hace Mess. Voici quelques mots sur la pièce et sur son auteur.
« Tous unis contre toute agression » est le slogan mis en avant sur l’affiche de l’appel au à ce rassemblement organisé par « SOS tamurt n Yeqvayliyen »
Connu pour ses positions islamistes et anti-amazighes, Abdelkader Bengrina estime qu’imposer Tamazight aux algériens n’est pas démocratique : « la langue est un élément d’identité et l’identité n’est pas imposée », a-t-il argumenté.
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