Beaucoup d’abstraction dans cette chanson où chacun peut se poser la question du pourquoi du comment, où chacun peut se reconnaitre dans ses moments de solitude.
L’inhumation de Nourddine est prévue pour aujourd’hui au cimetière Agnane de Darguina
Ses deux avocats, Me Kader Houali et Soufiane Dekkal ont également été refoulés à l’entrée de Tadmait alors qu’ils étaient sur la route vers le tribunal d’Alger pour défendre le militant souverainiste.
L’information s’est propagée telle une trainée de poudre chez les militants de la cause Kabyle. En effet, le Président de la coordination Ouest du MAK va passer la nuit en prison et sera présenté demain devant le tribunal de Tizi Ouzou.
C’est au lieu-dit « Les genêts » que le cadre du mouvement souverainiste a été intercepté par des policiers en civil alors qu’il accompagnait son cousin à l’hôpital.
« Où sont passés les journalistes qui couvraient les autres procès dans d’autres cas similaires ? Où sont les militants des droits de l’Homme qui nous chantent à longueur de journée les valeurs de humanisme? »
Le maire semble avoir tablé sur une approche de division entre les deux archs des At Argane et des At Vuchenachen, en voulant instrumentaliser les archaïsmes sociaux pour provoquer des tensions.
La militante indépendantiste a également assuré que les slogans de « Pouvoir dégage n’ont mené à rien et que le pouvoir s’est à nouveau installé et est plus fort qu’avant », interpellant ainsi les kabyles du Hirak
Tous les deux ont été arrêtés à Tichy. Brahim Tazaghart, hier, 26 septembre, lors d’une marche du Hirak et Mira Moknache lors du rassemblement « Livre à la main », qui a eu lieu le 24 septembre dernier
Le chanteur engagé Amirouche a diffusé, hier 26 septembre, son nouveau single « Doublé bla », dans lequel il revient, avec beaucoup d’entrain et de conviction, sur la triste place du Kabyle dans l’Algérie d’hier et d’aujourd’hui.…
ce jeune ministre (37 ans) du gouvernement de Tebboune avait martelé : « Je suis venu ici et je n’ai pas peur. Il y a des gens qui ont peur d’aller dans ce genre de régions ».
Il s’avère que l’une des bâtisses, un restaurant, resté debout, avec son écriteau toujours intact, n’est autre que le lieu où Matoub Lounes a été enlevé le 25 septembre 1994 par des hommes armés.
Suite à ces arrestations, une marche a été improvisée, en présence de plusieurs dizaines de citoyens, aux cris de « Ass-a azekka la culture tella tella », » Pouvoir assassin », « Pas de vote » et exigeant la libération des manifestants arrêtés.
