« Tamazight » : une langue Kabyle qui écrase les autres langues berbères? (par Mohand Belkacem)
Cette situation risque d’écraser les autres langues berbères au nom de « tamazight »
Cette situation risque d’écraser les autres langues berbères au nom de « tamazight »
our eux la Kabylie ne souffre que de la perte de ses valeurs ancestrales, autrement dit, de sa morale religieuse qu’ils ressuscitent et perpétuent indéfiniment jusqu’au purgatoire.
Ils veulent sauver la civilisation de leurs ancêtres avec la peau et le sang des pauvres enfants berbères.
Je me demande que s’est-il produit avec les militants pour pervertir cette réalité sociolinguistique et nous proposer un autre concept, plus jacobin, qui ressemble à celui conçu pour la langue arabe et qui nous empêche d’avancer et ce depuis 1980.
J’appelle solennellement les femmes et les hommes à un sursaut citoyen et écologique qui soit à la hauteur de l’amour que nous portons à cette Kabylie martyrisée.
De temps en temps, il organise des soirées dans son jardin. Il fait un bon couscous arrosé de vin. Il adore être entouré de Kabyles qui connaissent les histoires du village, histoire de rire un peu.
Nous nous sommes rapprochés de l’auteur afin d’en savoir plus sur cette oeuvre qui revient, avec des noms, des dates et des lieux, aux origines du fléau islamiste dans le monde
on est tenté de se demander si les siècles de colonisation, pourtant toujours injustes et brutaux, n’étaient pas une espèce d’âge d’or pour elles
Je protégerai ta mémoire du mieux que je pourrai…Par ton départ, je retourne malgré moi à mon enfance, sauf que cette fois ci, je sais que tu ne reviendras de nulle part…
Je connais très bien le droit coutumier kabyle, sa genèse, son application et tous les dérapages que les Kabyles ont fait subir aux femmes à cause de lui.
j’exprime le souhait que notre rencontre d’aujourd’hui contribue à sceller définitivement le rassemblement des forces kabyles pour la concrétisation de notre objectif suprême : la Nation kabyle libre et souveraine.
L’absent étant par conséquent considéré comme mort. Les épouses étaient déclarées légalement veuves et autorisées à se remarier. Elles ont donc emporté avec elles les enfants et les biens du mari disparu, retenu par les Espagnols.
Bien que ces feux fussent prévisibles, puisque systématiquement renouvelés chaque année, l’État algérien n’a pris aucune mesure préventive à travers ses services ministériels ou départementaux