l’Algérie trouve toujours un moyen de contrôler le paysage médiatique, et ce en optant au blocage des sites d’informations opposants ou qui dérangent sur les réseaux internet du pays.
Le plus gros bénéficiaire de ces fonds est le journal arabophone Ennahar qui, selon la même source a obtenu « 120 milliards de centimes entre 2012 et 2015
après avoir fait objet d’une censure de sa version papier de la part des autorités algériennes à partir de son 5e numéro, le journal basé à Vgayet {Béjaïa} s’est mis à publier des versions numériques
Selon une source locale, l’endroit en question brûle pratiquement chaque année mais aucune solution n’a été envisagée pour protéger cet endroit proche des habitations.
Il n’était pas qu’un simple militant, c’était un savant, avec 3 hauts diplômes » a-t-il tenu à souligner au sujet de celui qui a été son compagnon de lutte au sein du MAK durant de nombreuses années.
Selon des études qui sont assez anciennes, le Parc du Djurdjura abrite jusqu’à 1 100 espèces végétales, dont 35 sont endémiques, 33 sont classés protégés et 70 sont très rares.
En effet, ce sont pas moins de quatre poulaillers qui ont été totalement consumés par les flammes. S’ajoute à cela des centaines d’arbres fruitiers, dont 150 oliviers et pas moins de 100 orangers.
Il semblerait que ce nouveau roman, de 208 pages, aborde le sujet de l’islamisme ou en tout cas du conservatisme, dans un environnement algérien et non plus Kabyle.
Une chanson toute en mélancolie, qui raconte la séparation de deux êtres dans un environnement hostile à leur amour. Si le thème en soi est courant dans la chanson Kabyle, les paroles sont déchirantes et la mélodie poignante.